lundi 16 juillet 2012

CHEMINER vers l'ART avec DROMOS

Popotins de couloir

Alors cette fois-ci, j'ai vu des chats ....
Non, je rigole

Si bien sûr j'en ai vu mais j'arrête de vous en parler.
Je croise en fait plein de gens, et c'est toujours un peu surprenant pour moi. Je parle de mon lieu de stage. J'étais rassurée l'autre jour de penser que je perdais le meilleur de moi-même comme on dit, dans les mêmes toilettes que le n°1 du lieu ... En fait, ça n'aurait pas dû arriver, c'est que je suis distraite, il y a pourtant une pancarte à l'entrée commune qui dit, par le biais d'un double petit logo : hommes/femmes. Comme il y a 2 WC, j'aurais dû y penser : à gauche celui des homme, à droite celui des femmes ... Comme une idiote, j'ai cru que c'était mixte ... Mais on est en Égypte, atterris ma cocotte !
J'étais aussi rassurée de croiser le n° 2 qui en sortait, le pantalon de son beau costard tout mouillé des éclaboussures du lavabo, sur le devant, et à l'arrière le pan de sa veste encore pris dans le pantalon ...
De telles éminences ! Des titres ronflants en veux-tu en voilà, ça accueille l'ambassadeur et sa clique, ça côtoie les ministres, et ça reste humain .(et ça fait caca tous les matins, je sais je n 'ai pas pu résister)

Sinon j'ai commencé les visites.
J'ai pu me retrouver dans ce Caire ancien, le souk, les marchés, les petites rues, Bab el Zuweila avec ses 2 tours, porte médiévale dans les remparts, les khans façon aquarelles de David Roberts (je ne dis pas ça par rapport à la qualité de mes photos ...), et le marchand de glace, pas celles qu'on croit :




Direction la mosquée bleue, qui a été restaurée dans les années 2010, et qu'on nomme ainsi parce qu'un Sultan a fait rajouter des faïences d'Izmir, au fond. Style ablak (alternance des couleurs des claveaux).Tout est tellement turc !



Je m'y trouve juste pour l'appel à la prière du midi, il fait déjà chaud. C'est en fait depuis un palais qui jouxte la mosquée.

Puis le palais Manyal, une autre turquerie dont je ne vous montre que ce qui m'a paru moins kitch,  ça m'a pas mal rappelé Topkapi à Istambul. Les lacis géométriques sans fin (car on peut suivre une seule ligne en continu dans l'ensemble du motif sur panneau de bois), les fenêtres façon moucharabieh, et les incrustations de pietra dura (les mosaïques au sol) font mon bonheur





Je ne saurais terminer sans une antiquité digne de ce nom :
Un des tableaux dans la salle du trône, vous remarquez ?
La pyramide est rose ! Encore un coup des extra-terrestres !
Non, ce que je voulais pointer, c'est le niveau de l'eau : il y avait encore une crue du Nil, et de la végétation au pied des monuments. Maintenant il a poussé un grand musée qui n'est même pas ouvert.
Et les terres maraîchères autour du Caire ont été vendues à des promoteurs qui construisent des immeubles pas finis pour ne pas payer les taxes foncières, des compounds comme "New Cairo", (qui n'est pas la nouvelles capitale, elle est à 60km dans le désert), bon, ça a bien changé depuis Imhotep ...

J'apprends tout ça et d'autres choses en bonne compagnie, des normaliens/chercheurs/CNRS de Lyon , des architectes du campus Condorcet à Paris, des agrégés d'arabe, des papyrologues byzantinistes ou coptisans, et on nous raconte aussi comment sont organisées les sessions de Capès à l'oral ; en reste, quelques égyptologues sont moqués pour leur désignation pédante des périodes de l'histoire. Et puis un peu de potins, qui est en couple avec qui, ou l'a été, qui il vaut mieux éviter, ou sur qui on ne peut pas compter. En tout cas on est invité à l'Iftakh du 4 avril, c'est le repas de rupture du jeûn, et là, je vais encore en entendre ...

A vous la terre !
Bises










Ramadan pétaradant

Le ramadan a commencé. Les gens font péter encore plus de pétards que d'habitude. J'avoue que c'est un travail d'apprendre à ne plus sursauter quand ça éclate à côté de soi, ou même plus loin. Eux y arrivent très bien.
Dans les bureaux, le personnel égyptien passe nous offrir très gentiment des petites lanternes qui symbolisent ce mois, soit sous forme de porte-clés, soit en genre de bibelot qui s'allume quand on l'agite. Il y en a des grandes comme ça un peu partout aux devantures des boutiques.


Les horaires changent : le prières, les ouvertures de sites officiels, les repas bien sûr.
Qui dit ramadan dit nourriture. Alors je commence par le pire et je termine par le meilleur ?
Allez !

Quand je sors du bureau ce soir-là, avant le coucher du soleil, il y a sur un trottoir plein de gens attablés qui attendent et à côté, un jeune buffle est attaché à un réverbère, muselé bien serré, la tête à l'horizontal. Il est tout crotté de sa propre bouse et ses yeux sont affolés, il n'arrive même pas à mugir. Je me dis : "Celui-là connais son destin", tout en ne croyant pas ce que je pense .... Ils ne vont tout de même pas le tuer là pour le bouffer, sur le trottoir ?

Le lendemain matin je repasse dans l'autre sens. Eh ben si ! N'en croyant pas mes yeux, je vous réserve la photo, n'ayant pas eu le coeur à faire celle de la veille ...

Bon, voilà. Parfois pour ce repas du soir les terrasses sont  pleines, parfois un peu plus vides. Il y a les restaurants pour ceux qui peuvent payer, et les petits coins pour ceux qui ne peuvent pas mais avec qui ont partage. Hier au marché une famille m'a même invitée à m'attabler avec elle. J'ai apprécié, même si j'ai refusé, vu mon régime drastique.



En revenant par les rues adjacente, je contemple les voitures à pyjamas, ces housses plus ou moins modernes dont on les couvre pour les protéger de cette fameuse poussière. Parfois, elles sont un peu usées.


Je suis contente j'ai fait mes courses. Et pris le métro pour y aller ! Je me souviens qu'au début quand il a ouvert (réalisé par les français m'avait-on dit), tout était écrit seulement en arabe, et j'avais beau m'être initiée à déchiffrer cette langue, ma copine ne me faisait pas confiance et n'avait pas voulu le prendre. Du coup je me renseigne, tout est aussi en anglais maintenant. Pourquoi je suis un peu stressée alors ? J'y vais et je me rappelle : on est en Egypte, avec toute la part du Inch'Allah que ça suppose. Et à la correspondance, plus d'indication sur ma direction. Deux charmants contrôleurs sont là pour m'expliquer, ah oui il faut que je j'aille sur le quai opposé et là des km de couloirs et d'escalators m'attendent. C'est ça ou marcher le long du Nil, mon choix est fait.
Et mon placard est plein. J'ai pu me faire des bons légumes à la sauce cacahuète (l'Egypte produit beaucoup d'arachides), du pain à la sauce tahina (crème de sésame) avec cumin et sel de l'Himalaya, et du riz au tofu. Oui parce que je vais dans une des rares boutiques bio de la ville, en France ça passe déjà pour être un peu snob, alors ici ... En tout cas mon coloc n'a pas rechigné quand je lui ai proposé une part de mon financier à la pistache, même s'il n'avait pas trop le goût de pistache.

Ensuite je voulais faire des visites culturelles mais j'ai oublié les horaires du ramadan et tout était déjà fermé quand je me suis pointée. Pas grave, je vais me promener dans le quartier, l'île de Roda. Là je trouve un magasin de choses pour la maison et la cuisine, ça tombe bien il me faut un entonnoir. Et me voici à nouveau parmi les chats, ça nous change; au début on ne les voit pas et puis soudain on se dit "drôle d'article en vente tout de même !" ça bouge un peu, on sent qu'on dérange.


Du coup on m'a précisé pour les rats que j'ai cru voir la nuit, que ce sont plutôt des genres de petites fouines mais les egyptiens les considèrent quand même comme des rats. Une française qui en a vu une au fameux restaurant Felfela a juré qu'elle n'y retournerait pas.

Alors bon appétit et à bientôt !


Take Caire


Le Caire ...

Je prends, ou plutôt il me prend, à bras le corps et  l'âme.

Pas de demi-mesure, tout est trop pour les occidentaux dépassés : trop grand, trop bruyant, trop agité, trop peuplé. Vous connaissez peut être la petite blague ; combien y a-t-il d'habitants au Caire ?

Réponse : huit ...

Pourquoi ? Ne regardez pas sur wikipedia, ce n'est pas ça dont on parle

Parce que les cairotes sont qu'huit !

Les nôtres sans doute, se dit-on en arrivant.

Ici les femmes disent "Les hommes passent, la poussière reste." On a envie de généraliser, même si en fait, les hommes sont là et la poussière aussi. Une lutte incessante des deux. Je me disais que sans doute la nouvelle capitale, New Cairo, Sissi City comme certains la nomment, a été construite de béton et d'asphalte, pour y échapper. Mais ceux qui la connaissent m'ont dit ne pas avoir ce sentiment.

J'ai marché le long du Nil où la promenade de la corniche spécialement conçue pour les vélos et les pétons, est fermée. Alors il faut marcher sur la rue, le long du trottoir si on peut, à côté des voitures plutôt, qu'elles roulent ou pas. J'ai même vu un homme, sur une voie rapide, qui s'acheminait en direction d'un sous-terrain, après un over-drive en plein centre-ville, J'avoue que j'ai eu peur pour lui, mais il était tout à son affaire et si tranquille. Après avoir avalé quleques tonnes de gaz d'échappements et craint pour ma vie aussi, j'ai bien compris que si on ne se lance pas on n'avance pas.


Les chats du Caire

Des chats assez miteux envahissent la ville. Pas grand chose à voir avec la fière déesse antique Bastet et son profil abyssin, même s'il se retrouve chez les représentants faméliques de la cité contemporaine, n'en est que le souvenir. Ils sont là parce que les humains veulent bien, ils sont utiles pour lutter contre les rats et autres rongeurs. La vie ou la subsistance est rude pour tous. Je ne parle même pas de tous ces pauvres hères, hommes ou femmes (en principe celles-ci ont toujours quelque chose à vendre, ne serait-ce que des mouchoirs, la prostitution étant dissimulée), qui vivent ou dorment à même le trottoir, et de plus en plus, beaucoup de travailleurs mal ou peu payés, me dit-on.

Le sort des chats est misérable, on quête sa nourriture, on se bat, ici un oeil crevé, là une patte en moins, quand ce n'est pas purement et simplement un cadavre qui git dans la rase. Dans l'immeuble il y en a 2 qui m'ont reprérée. Un gros à l'oreille cassée, aux yeux tristes qui pourraient devenir méchants, et un jeune tout fin. Les deux ont des miaulements à fendre le coeur derrière la porte de service, et qui deviennent tout aigüs quand ils me voient. Je cherche comment ne pas céder et faire attention à ce qui'ls ne franchissent pas le seuil à mon insu, car ensuite il faudrait gérer tout ce qui va avec.

Sur mon lieu de travail, quelques uns ont été stérilisés,et sont clandestinement nourris par une personne charitable. En signe de reconnaissance, on leur a coupé le bout d'un oreille ... Cela n'empêche pas des maraudeurs de s'infiltrer pour venir reluquer leur gamelle voire se servir dedans. (suite en dessous des photos)







La nuit, de ma fenêtre, j'aperçois leurs insaisissables proies : les rats. Seulement des silhouettes furtives qui vont d'ombre en ombre dans la rue à peine éclairée, quand enfin tout redevient à peu près calme, ce qui reste toujours relatif au Caire. L'un d'eux pousse un cri strident. Je me dis qu'il appelle les autres. En fait, je crois qu'il a détecté l'arrivée d'une moto dont le phare balaie bientôt le passage, il est le guetteur qui donne l'alerte. 

Il y a aussi cette anecdote lue dans un petit recueil écrit par l'egyptologue Emile Chassinat en 1907, qui raconte que dans le premier local de l'Institut français d'archéologie au Caire, les rats grignottaient les chapeaux de la femme du fondateur, Mme Maspéro, et même la base des bougies dont ils se servaient pour s'éclairer, alors qu'elles continuaient  flàamber, et jusqu'à ce quelles s'effondrent sur elles-mêmes. 

Plus dur encore d'être un rat, donc.

Alors ne partez pas tout de suite, il y a aussi les musiciens. (Quel rapport ? c'est pour faire plus gai !) Un joueur de Oud nous a régalé de quelques uns de ses morceaux, et de ceux d'autres, comme Anouar Brahem, artiste tunisien dont il faut retourner écouter Parfum de gitane, sur les vrais disques ou les plateformes payantes, ou encore "Conte de l'incroyable amour", et plus rythmé, "Raf-raf ":

https://www.youtube.com/watch?v=1FzvwJjY-fk

Mais n'oublions pas de terminer en égyptien du sud avec Mohamed Mounir :

https://www.youtube.com/watch?v=mDqYn0XZTZw

Bises à tous et à bientôt !

Actualités

merci de dérouler jusqu'en bas

C'est la rentrée des CONFERENCES 2020-2021

à MILLAU, Galerie LE SALON

et MJC ONET-le-CHÂTEAU 

"POST-DéCONFINEMENT"

dans des conditions de respect maximal de vos personnes et de votre santé !
MERCI DE RESERVER VOS SEANCES A L AVANCE sur oudjat6@gmail.com

ET   MJC ONET-LE-CHÂTEAU

Bd des Capucines - 05 65 77 16 00
 
1ère PARTIE : 2020
14 septembre – Christo et Jeanne-Claude,  artistes emballants
21 septembre - Les Jardins japonais     
12 octobre – Les jardins d’Orient
02 novembre – TAHARQA et les pharaons noirs
16 novembre – L’art de l’icône russe
30 novembre – Chagall et l’Ecole de Paris
14 décembre – Nijinski, Diaghilev et les ballets russes

2ème PARTIE : 2021 (dates sous réserve)
1er mars : Aubrey BEARDSLEY et la ligne Art Nouveau
15 mars : Hommage aux ALBERS
29 mars : BASQUIAT et l’Afrique
12 avril : Le romantisme d’Ilia REPINE
03 mai : éternel BOTTICELLI
17 mai : OLMEQUES
31 mai : Fernand LEGER : la vie à bras le corps


Inscription et conditions auprès de la MJC


MORCEAUX CHOISIS post-déconfinement

En relation avec des expositions, des événements, ou bien pour souligner de nouvelles tendances sociétales de retour à la nature, le programme de l’automne qui arrive est éclectique. Il abordera aussi bien des artistes contemporains que des aspects plus classiques de l’art, illustrera des créations nationales mais saura se tourner vers divers Orients, en témoignage de mélanges et d’influences qui caractérisent toute créativité.

1ère PARTIE : 2020

01Christo et Jeanne-Claude, artistes emballants :

Pour rendre hommage à Christo très récemment décédé, et à l’occasion du report de l’exposition à Beaubourg, une revue enthousiaste des principales œuvres du couple mythique, resituées dans le grand mouvement du Land Art.

02 - Les Jardins japonais :

Des expositions auront lieu dans les temps à venir, au musée Guimet et Cernuschi, qui aborderont le thème des paysages de la campagne japonaise. Ici, grandeur nature bien qu’en images, une promenade vous sera proposée, du très sobre coup de rateau dans le gravier à la déambulation entre arbres et cascades, avec les couleurs changeantes de l’automne en cours ...

03 – Les jardins d’Orient :

Andalous, paradisiaques, édéniques, les jardins d’orient sont des oasis où l’on rêve de vivre éternellement … A travers miniatures et reconstitutions, nous voyagerons à l’abri des fleurs d’orangers, des panaches de palmiers et dans le sillon parfumé des figues mûres.

04TAHARQA et les pharaons noirs :

Si une grande partie du peuple de l’Egypte ancienne métissa ses origines africaine et orientale, des pharaons issus de l’actuelle zone soudanaise prirent effectivement le pouvoir sur tout le pays jusqu’à la Méditerranée durant quelques décennies au 1er millénaire avant JC. Le musée du Louvre présente le plus connu d’entre eux, Taharqa, une belle opportunité pour actualiser nos connaissances sur le contexte grâce aux fouilles archéologiques récentes.

05L’art de l’icône russe :

Quoi de plus emblématique qu’une icône, l’image par excellence ? Cette désignation a pris avec le temps l’exclusivité d’une pratique de la peinture sur bois, et connaît son lieu de gloire en Russie. Une incontournable manière de réviser des classiques, ne serait ce que pour constater que rien ne l’est jamais vraiment.

06Chagall et l’Ecole de Paris :

Bientôt encore, nous promet-on une exposition sur ce courant fameux qui ne fut constitué que par … des étrangers ! Entre Shtetl et capitale française, entre fantaisie peinte et rudesse de la vie quotidienne, la poésie colorée triomphe de l’adversité !

07Nijinski, Diaghilev et les ballets russes :

Des décors de grands peintres, des costumes de Léon Bakst, des chorégraphies à scandale et une musique endiablée, telle est la recette explosive qui fit le renom de cette danse infiniment renouvelée par ses protagonistes, et qui attira le tout-Paris au théâtre du Rond-point, flambant neuf lui aussi.



2ème PARTIE : 2021

08 : Aubrey BEARDSLEY et la ligne Art Nouveau

Ce dessinateur britannique impertinent de la fin du 19ème siècle devait voir sa rétrospective au musée d’Orsay après une présentation à la Tate Britain. C’est le bon prétexte quoi qu’il en soit pour s’intéresser à son œuvre pas toujours bien identifiée du grand public, mais qui garde un charme incomparable de maniérisme et de critique sociale.

09 : Hommage aux ALBERS

Et justice à Anni Albers, enfin présentée à l’égale de son artiste de mari ! Leur nom rendu célèbre par la fameuse Ecole du Bauhaus, est associé à l’avant garde du début d 20ème siècle et assimilé à une étape fondamentale de la création du design. En avant la forme et la couleur,  avec l’exposition du Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris !

10 : BASQUIAT et l’Afrique

Si le Centre Pompidou se voit dans l’obligation de reporter son exposition, prenons une longueur d’avance en explorant ce thème primordial du « pays d ‘origine » dans l’art de ce jeune prodige.

11 : Le romantisme d’Ilia REPINE

En partenariat avec la galerie Tretiakov de Moscou, le Petit Palais devait accueillir la première grande rétrospective consacrée à ce grand peintre russe ; son univers onirique et orientalisant ne manquera pas de nous séduire.

12 : éternel BOTTICELLI

Immédiatement identifiable par ses silhouettes sinueuses, ses visages juvéniles et ses thèmes allégoriques, ce standard du classicisme renaissant nous aurait-il déjà tout révélé ? Redécouvrons le modèle indémodable que nous promet pour une date inconnue, le très joli musée Jaquemard-André …

13 : OLMEQUES

Cette fascinante et très ancienne culture du Golfe du Mexique fait enfin l’objet d’une présentation à la hauteur, au musée du Quai Branly. Connue pour ses énormes têtes de pierre aux yeux en amande, elle ne manquera pas de nous faire accéder à bien d’autres trésors.

14 : Fernand LEGER : la vie à bras le corps

Et pour terminer en légèreté, la bande à Fernand réunie, on l’espère, au musée Soulages de Rodez, nous fera apprécier, outre la solidité de ses membres, la variété de ses coloris et la joie de ses simplicités.




VOYAGE en RUSSIE :
Moscou et St Petersbourg

REPORTé en septembre 2021

(OBLIGATION GOUVERNEMENTALE)

infos à demander à : oudjat6@gmail.com




DROM, une racine sanskrite qui signifie chemin, et vient nous rappeler nos lointaines origines indo-européennes.
DROMOS, un terme grec désignant une voie qui mène à un lieu construit, un temple ou un tombeau important. En Égypte, on l'utilise pour les allées processionnelles souvent bordées de sphinx ; parmi les plus connus, celui qui mène à l'entrée du temple de Karnak.
Ce nom est choisi en hommage à l’égyptologue Agnès Cabrol.

DROMOS représente la démarche de l'association pour aborder le thème de l'art et de son histoire, l'approche de l'humain et des diverses civilisations à travers les témoignages artistiques.



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